POUR QUI ?
Nos patients :
La femme enceinte
Le nourrisson
Enfants et adolescents
Le Sportif
Le Sénior
C’est elle qui donne naissance aux futures générations. Il est primordial de travailler en pré conceptionnel pour optimiser les chances de concevoir, offrir un nid propice à une grossesse, mais aussi un environnement sain et libre pour la croissance de son enfant.
Durant la grossesse toute la mécanique posturale de la femme va changer en 9 mois. Il va y avoir des transformations physiques, hormonales et psychiques importantes qui peuvent entrainer des symptômes que l’ostéopathe pourra soulager.
L’accouchement quant à lui est un vrai équilibre entre tonicité et mobilité surtout au niveau du bassin qui doit être libre pour le passage du nourrisson. D’où l’importance d’une séance d’ostéopathie pour optimiser un accouchement.
En post partum, le corps doit s’adapter à des changements brutaux due à l’accouchement : à la perte de poids soudaine et à la chute des hormones sources de grande fatigue. L’ostéopathie aide la femme à retrouver son corps et sa posture de base.
De plus, il peut se créer un déséquilibre du bassin et/ou du périnée à cause des poussées. Il peut être nécessaire de ré harmoniser toute la sphère pelvienne avant de faire une rééducation périnéale.
Champs d’actions: (Aucune technique n’est réalisée par voies internes)
– Optimisation Pré conceptionnel : Dès l’envie de concevoir
– Suivi de grossesse : A n’importe quel moment que vous ayez des symptômes ou non
– Douleurs ligamentaires et pelviennes, Crampes musculaires, Cervicalgies, Lombalgies, Sciatiques, Douleur de coccyx
– Ventre dur, tendu, Contractions au cours de la journée
– Sensation de bébé trop haut, trop bas, ou bloqué en bas d’un coté
– Nausées et vomissements, Reflux et Brulures gastriques, Constipations, Hémorroïdes, Jambes lourdes
– Troubles de l’humeur, Troubles du sommeil
– Fatigue, Maux de tête
– Oppressions, Essoufflements
– Menaces d’accouchement prématuré
– Préparation à l’accouchement : Au 8e mois de grossesse
– Post partum : Idéalement à 3 semaines de l’accouchement
– Pré rééducation du périnée, Travail des cicatrices
Il a vécu durant 9 mois les mêmes choses que sa maman, dès sa naissance il a subi de grosses contraintes de compression qui peuvent être le lit de problématiques crâniennes et digestives, encore plus si l’accouchement a été difficile ou a nécessité une instrumentation.
Le nourrisson est aussi le miroir de tout ce qui l’entoure, et tout son environnement va conditionner sa croissance.
On entend souvent dire que ça se remettra tout seul, pourtant des petites restrictions de mobilités peuvent perturber le bien-être et le développement psychomoteur du bébé.
Champs d’actions :
– Difficultés à téter, trouble de la succion/ déglutition : 1er urgence, venir dès que possible
– Bilan : Idéalement à 3 semaines
– Accouchement difficile : trop long ou trop rapide, Instrumentation (forceps, ventouse), Césarienne, Siège, Présentation par la face, Cordon autour du cou, Souffrance fœtale, Prématuré
– Plagiocéphalies, Asymétries du crane
– Torticolis congénital, Difficultés à tourner la tête, Positions asymétriques, Côté préférentiel
– Canal lacrymal bouché
– Régurgitations
– Coliques du nourrisson : bébé se tortille, a beaucoup de gaz
– Constipations
– Troubles respiratoires, Bronchiolites, Présences de glaires, Nez bouché, Rhume long et Affections ORL à répétitions
– Troubles du sommeil
– Bébé trop tonique, Crispation, Nervosité, Pleurs importants,
– Chutes, chocs
– Troubles des étapes locomotrices : difficulté dans le maintien et la rotation de la tête, Ne se retourne pas, Difficulté pour ramper, 4 pattes asymétrique, Ne tient pas assis, Difficulté à tenir debout ou à marcher.
Ils sont en perpétuel apprentissage cognitif et moteur de ce qui les entourent. Ils ressentent, ils écoutent, ils doivent se concentrer. Ils grandissent, jouent, font du sport, chutent, se relèvent, se cognent… leur quotidien peut entrainer des blocages d’origine multiples.
Ils vont traverser des phases de grande acquisition, leur croissance induit des changements de posture et des bouleversements hormonaux. Ils sont de vraies éponges et ces événements du quotidien peuvent provoquer différentes problématiques : troubles mécaniques, du sommeil, ORL, digestifs, de l’humeur (colère, excitation).
En libérant les blocages l’ostéopathe va redonner à l’enfant toutes ses capacités physiques et psychiques nécessaires à son bon développement. Notre but est d’optimiser ses capacités d’apprentissage et ses performances, permettre à l’enfant un épanouissement psychomoteur familial, scolaire, social et sportif et d’éviter l’apparition de trouble de la statique (scoliose, cyphose, Os good…).
L’ostéopathe peut aussi accompagner les prises en charge orthopédiques ou orthodontiques pour stimuler l’action des traitements et diminuer les effets secondaires comme les maux de tête…
N’oubliez pas, une plainte répétée chez un enfant est un signe de dysfonctionnement.
A tout âge et peu importe son niveau, débutant ou professionnel, le sportif va subir des contraintes répétées, des micro-traumatismes ou de vrai trauma due à son activité. Par conséquent des diminutions de mobilité peuvent altérer sa pratique sportive.
Il est recommandé de faire un bilan en début et/ou en fin de saison pour éliminer toutes restrictions qui pourraient être la cause de blessures.
L’ostéopathie peut être utile pour optimiser les performances avant une épreuve ou dans un but de récupération après celle-ci. S’il y a blessure, l’ostéopathe est là pour accompagner le patient en parallèle de sa rééducation.
Avec l’expérience (ou l’âge), le corps s’use, s’enraidie, sa capacité de régénération est plus longue. Que ce soit de manière générale ou en cas de pathologie l’ostéopathie peut apporter une aisance et un confort supplémentaire pour le quotidien du patient, lui permettre une meilleure mobilité pour une meilleure santé.